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La plus grande étude scientifique mondiale sur le jeûne !

  • cescaravage
  • il y a 1 jour
  • 2 min de lecture

La plus grande étude mondiale sur le jeûne a été réalisée par Dre Françoise Wilhelmi de Toledo, une médecin suisse experte du jeûne, et son équipe, étude issue de la clinique chez Buchinger à Überlingen en Allemagne, jouissant d’une longue tradition en matière de jeûne.

Source: Françoise Wilhelmi de Toledo, Franziska Grundler, Audrey Bergouignan, Stefan Drinda, Andreas Michalsen : «Safety, health improvement and well-being during a 4 to 21-day fasting period in an observational study including 1422 subjects» PLOS ONE, le 2 janvier 2019



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Publiés en ligne dans la revue PLOS ONE, le 2 janvier 2023, les résultats de cette étude démontrent en particulier les points suivants: Le jeûne mobilise l’énergie stockée dans les tissus adipeux du corps humain.

Le métabolisme passe de la consommation de glucose à celle des graisses et des cétones, induisant par-là quantité d’effets bénéfiques. Le changement de métabolisme a été attesté dans l’étude par la présence permanente de corps cétoniques dans les urines.

Le jeûne entraîne une perte de poids significative, réduit le tour de taille et fait baisser les taux de cholestérol et de lipides sanguins.

Le jeûne a également normalisé la tension artérielle des jeûneurs et amélioré les paramètres du diabète, tels que la glycémie et le HbA1c, améliorant ainsi de nombreux facteurs contribuant à la santé cardiovasculaire.

En outre le jeûne a amélioré 84 % des cas de maladies graves, telles que l’arthrite, le diabète de type 2 ainsi que la stéatose et l’hypercholestérolémie, l’hypertension artérielle et la fatigue. 93 % des sujets n’ont pas eu faim pendant le jeûne, ce qui a contribué à leur bien-être émotionnel et physique. Le jeûne avec suivi médical a montré peu d’effets secondaires indésirables.

Au demeurant, ces derniers ont pu être traités facilement et sans interruption du jeûne. Dans des cas isolés, un sommeil agité, des maux de tête, de la fatigue ou des douleurs lombaires sont survenus surtout au cours des trois premiers jours.


En résumé, l’étude a démontré que ce programme de jeûne constituait une approche sûre et bien tolérée de la prévention des maladies liées à l’âge et du traitement des troubles métaboliques chroniques, y compris le problème du surpoids.




 
 
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